On se souvient tous de lui dans son premier succès cinématographique l'oeuvre de David Cronenberg, La Mouche. Jurassic Park en a fait une star planétaire, il sauva le monde à deux reprises dans Independance Day, Jeff Goldblum, cet acteur au physique déguingandé revient dans un registre que l'on n'imaginait pas : le Jazz. Un album qui rappelle les meilleurs moments du jazz des années 50, Jeff au Piano accompagne le Mildred Snitzer Orchestra pour un son qui groove.
le petit thionvillois
Tout et n'importe quoi, en toute simplicité.
mercredi, février 27, 2019
lundi, juillet 18, 2016
We're The Superhumans
Yes, I can !
Oui, je peux !
La vie est parsemée de rencontres improbables, d'obstacles imprévus, de coups d'arrêts qui épicent le quotidien.
Une barrière ne doit pas être un problème, si je ne peux la franchir, il suffit juste de s'adapter, la contourner pour passer de l'autre côté et repartir de l'avant...
Si tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes, la vie serait ennuyeuse.
kryzstof
vendredi, juillet 15, 2016
Putain de camion !!!
Putain c'est trop con
Ce putain d'camion
Mais qu'est-ce qu'y foutait là
Putain de vie d'merde
Vous avez roulé dans l'herbe
Et nous, vous nous plantez là
J'espère au moins qu'là-haut
Y'a beaucoup moins d'salauds
Vous nous laissez avec les chiens
Avec les méchants les crétins
Sous un soleil qui brille moins fort et moins loin
J'voudrais m'blottir dans un coin
A Nice ou plus loin
Pleurer avec eux jusqu'à la saint glinglin
Putain j'ai la rage
Contre ce carnage
Et contre ce soir là
Où c'est arrivé
Dire que c'était l'été
Dans ma tête y fait froid
J'espère au moins qu'là-haut
Y'a beaucoup moins d'salauds
Ce putain d'camion
Mais qu'est-ce qu'y foutait là
Putain de vie d'merde
Vous avez roulé dans l'herbe
Et nous, vous nous plantez là
J'espère au moins qu'là-haut
Y'a beaucoup moins d'salauds
Vous nous laissez avec les chiens
Avec les méchants les crétins
Sous un soleil qui brille moins fort et moins loin
J'voudrais m'blottir dans un coin
A Nice ou plus loin
Pleurer avec eux jusqu'à la saint glinglin
Putain j'ai la rage
Contre ce carnage
Et contre ce soir là
Où c'est arrivé
Dire que c'était l'été
Dans ma tête y fait froid
J'espère au moins qu'là-haut
Y'a beaucoup moins d'salauds
NICE
14/07/2016
vendredi, juillet 01, 2016
Détenu
Ils sont deux, toujours, entrent se saisissent de moi
et m’enferment dans leur fourgon blanc. Quelques minutes plus tard la porte
arrière du véhicule s’ouvre, ils me conduisent dans ce centre, je reste seul
dans ce hall d’entrée. Jamais je n’aurais imaginé entrer dans un tel lieu, je
n’en connaissais même pas l’existence d’ailleurs. J’ai découvert ce nouveau
monde, par hasard, par accident devrais-je dire il y a quelques mois. Je n’aime
pas cette ambiance, je n’y suis pas à ma place, je n’ai rien à foutre ici au
milieu de ces blouses blanches aux sourires convenus, j’ai accepté ce transfert
pour changer de lieu tout simplement, j’en avais marre de mon ancien centre de
détention, me rapprocher des miens surtout. Je me pose des tas de questions
assis comme un con dans mon fauteuil au milieu de ce hall, je suis une sorte de
détenu, prisonnier de mon corps dont je ne sais quoi faire, ma peine d’intérêt
n’est pas générale, elle est personnelle, pas en redressement, mais en
rééducation. C5, C6, j’ai pas encore le permis, mais j’ai le sentiment d’avoir
été victime d’un carambolage dans une concession Citroën, j’ai plaidé non
coupable, mais le juge en a décidé autrement, je dois me rééduquer.
L’impression d’être ailleurs, ma tête n’intègre pas la
réalité de ma situation, en moi, je suis toujours le même, comme tout les
jeunes de mon âge finalement, insouciant, sportif, je ne me préoccupe pas
réellement du lendemain. Mais en fait aujourd’hui j’ai le sentiment d’être deux
personnes à la fois, mon esprit qui ne change pas radicalement et mon corps que
mon esprit ne semble plus contrôler. Ces deux personnes mènent un combat en
moi, et pour l’instant j’en suis comme le spectateur, j’attends de voir la
suite.
Découverte d’un nouvel environnement, un nouveau
centre de rééducation, le dernier m’avait laissé un gout amer, je n’avais pas
réellement compris ce que j’y faisais, ce que je pouvais y faire, incapable de
bouger, à quoi bon faire de l’exercice, je ne gérais rien de moi-même. En quoi
cela pourrait être différent ici ? Le médecin m’explique le programme,
elle semble à l’écoute, même si je ne dis rien, je reste impassible de toute
façon je ne sais pas quoi répondre ne sachant pas à quoi m’attendre ni même
quoi espérer. Rencontre avec les personnes chargées de s’occuper de mon cas,
elles sont souriantes, énergiques, mes réponses sont automatiques, par
politesse simplement, je préfère cacher mes émotions sous ma capuche, demeurer
impassible. On me conduit d’une salle à l’autre au fil de la journée je repère
les lieux, rencontre des thérapeutes différents, des gens sur des tables, entre
des barres, devant des tableaux, tous ont l’air de se satisfaire de leur
présence en ces lieux. Mais comment peuvent-ils prendre leurs condamnations à
la légère ? Je me rends compte
bien vite qu’en comparaison avec mon ancien centre, ici les détenus ont des
casiers bien plus léger, je dénote un peu dans l’ensemble.
Mon cas semble attirer l’attention de bien des détenus
ici, je croise des regards, je surprends des conversations, sans cesse les mêmes
questions que l’on me pose, qu’est ce qui t’es arrivé, qu’est-ce que tu as eu,
pourquoi toutes ces interrogations insistantes alors que moi je ne cherche qu’à
ne plus trop penser à ça ? Pas l’intention de me raconter à tous,
j’esquive, je détourne, je transforme la réalité, ils sont contents parfois,
perplexes souvent, et moi tranquille jusqu’au prochain.
Au fil du temps je fais de drôles de rencontres dans
ce centre, certaines moins bonnes que d’autres. Cela peut aller du jeune
cascadeur à scooter qui a déjà tout connu dans sa vie, à la personne âgée qui
va me faire la morale, beaucoup viennent se plaindre de leur sort, ou beaucoup
me disent qu’ils comprennent. Mais ils comprennent quoi ? Je réalise
malgré tout, qu’un médecin peut être à l’écoute, sans m’imposer ses décisions,
je m’aperçois que les thérapeutes font souvent le maximum pour améliorer mes
chances dans mon combat, je comprends que les infirmières et aides soignantes
sont là pour m’épauler dans tous les instants y compris les plus désagréables
de mon séjour.
Mais s’il est des rencontres
que je dois retenir, il y en a deux que ne suis pas prêt d’oublier. Un détenu,
n’ayant plus le contrôle total de son corps non plus, qui est arrivé vers moi
sans me poser de questions, il m’a fait part de son expérience, m’a écouté sans
juger, il prend les choses avec humour, quelqu’un qui a du cœur et un mental de
résistant. Une kiné, gourou sensible au bien être du physique et de l’âme de
ses disciples, Marianne, qui à force d’insister, a su comprendre mon fonctionnement,
m’a redonné le sourire, une certaine joie de vivre, l’envie de me battre et la
motivation de retrouver une certaine forme de liberté. Je sais désormais que ma
détention n’est pas une fin en soi, elle est provisoire, je suis entrain de
reprendre les armes pour découvrir une nouvelle liberté !
Mise en mots : Kryzstof
Virages
Un
dimanche de printemps comme les autres. Matinée fraîche et ensoleillée. Jean,
polo, baskets, vêtu comme d’habitude finalement, je descends les sept marches,
traverse la rue et actionne l’émetteur de la porte de garage. Un claquement, le
moteur s’enclenche, la porte s’ouvre, les néons blafards clignotent sous les
coups de leurs starters usés, l’antre sombre s’illumine peu à peu. J’avance
dans la pente, je marche doucement avant que la porte ne se referme derrière
moi. Elle est là sur ma droite en première ligne. Blanche, immaculée, des
jantes d’un noir brillant et profond, des étriers de freins flamboyants. Ses
courbes quasi sensuelles semblent apaisées sous cette lumière artificielle, sa
face reste douce, quelconque presque alors que sa poupe généreuse révèle un
tempérament affirmé. Je m’approche, d’une pression de l’index sur la poignée
avant gauche je la déverrouille. Deux pas en arrière, j’ouvre la porte arrière,
dépose ma canne, fidèle compagne, retire ma veste la dépose sur la banquette.
Je referme. J’ouvre la porte avant, celle qui va enfin me laisser découvrir le
poste de pilotage. Je m’assieds, m’installe, pied droit sur l’accélérateur,
pied gauche calé dans la pédale en forme d’étrier de frein. J’attrape la boucle
de ceinture, m’attache avec cette ceinture d’une couleur rouge plutôt originale
d’ailleurs, une petite touche de gaieté dans un environnement sombre. Pied
gauche sur le frein, j’appuie sur le bouton de démarrage. Un cliquetis se fait
entendre puis un feulement, le moteur s’est réveillé, des diodes illuminent le
tableau de bord, check up électronique, tout est en ordre. L’aiguille du compte
tours palpite. Marche arrière enclenchée, je recule doucement pour m’extirper
de cette place entre deux piliers de béton. Pression sur la commande du garage,
j’avance lentement vers l’extérieur, les phares s’éteignent en découvrant le
soleil face à moi.
Je
prends la route, doucement en ville, la boite de vitesse gère seule le
rendement du moteur. Petit à petit elle monte en température, la radio diffuse
son lot de publicités. Je sors de la ville, j’emprunte une bretelle
d’autoroute, je descend la rampe de lancement à 70 km/h en sixième, un coup
d’œil dans le rétroviseur, la voie est libre, deux impulsions sur la palette de
gauche pour tomber deux rapports tout en écrasant la pédale de droite, la Clio
bondit dans un son rageur, les 160 km/h sont atteints en quelques secondes
seulement, je relâche l’accélérateur pour me caler à 100 km/h. A cette allure,
les quelques véhicules empruntant l’autoroute me dépassent allègrement.
Qu’importe, ce ruban d’asphalte droit, large, lisse et sans âme n’est qu’un
lien conduisant à mon but que sont les petites routes qui serpentent dans les
forêts luxembourgeoises.
Je
coupe la radio, la magie opère. J’enchaîne les courbes sur un filet de gaz, le
rythme s’accélère, les sorties de virages deviennent des rampes de lancement,
la puissance du moteur envoie la Clio telle une bille de flipper sur les routes
boisées. Je tends les trajectoires, coupe les virages quand la visibilité le
permet, je place les roues à l’extrême limite du bitume. Les gestes sont doux,
précis, ne pas brusquer l’auto, faire corps, rester concentré. Sans dépasser
les limites légales autorisées, le plaisir est atteint. Les paysages défilent,
différents, tantôt sombres presque inquiétants dans les forêts du Mullertharl,
puis ensoleillés des bords de la Moselle, la balade dominicale est un régal.
C’est
une belle journée.
(souvenirs désormais...)
kryzstof
C'est déjà ça...
Un samedi matin comme avant, ou presque, tel est mon
programme. Bien entendu rien ne peut plus être comme avant, il faut s’adapter,
encore une fois. Sortir semble devenu une épopée, navigateur solitaire dans
l’âme depuis toujours, je suis contraint de voguer en équipage, au gré des
embarquements proposés. Ma sœur, skipper d’un jour sera au gouvernail de mon
canot de sauvé des eaux à roulettes, frêle embarcation face aux tumultes des
trottoirs cabossés. Ces revêtements de sol soient disant adaptés à la navigation
de nos barques ou des optimistes des enfants poussés par leurs mères, nous font
nous transformer en galériens ramant face aux dénivelés, aux voitures garées,
aux fameux bateaux trop profonds dont on ne peut s’extirper seul. Mes bras ne
sont plus aptes à pagayer ainsi en eaux troubles, je dois m’en remettre à mon
équipier de circonstance.
Cap sur le centre ville, les eaux sous mes roues deviennent
plus calmes, traversée du marché, des couleurs, des odeurs oubliées, je ne fais
que passer. Centre piétonnier, je reprends la barre de mon canot, petite
poussée d’autonomie, je gère ma vitesse, mon cap, tranquillement. Je vogue
d’une rue à l’autre, je souque ferme dans les montées, mes bras tétanisent, je
surfe les descentes en gérant ma vitesse. C’est ici que devrait être mon port
d’attache, les choses seraient si faciles, trop sans doute… L’objectif est en
vue, les terrasses. Complètement désuet pour beaucoup, mais prendre un café sur
une terrasse un samedi matin est un petit bonheur de ma vie. Un petit plaisir
tout simple, seul, entre amis, en famille, discuter, observer, se moquer
souvent, la ville est un spectacle, les passants sont des acteurs, ils ne le
savent pas je leur fais vivre des petites aventures. Il y a ceux qui reviennent
du marché, il y a les promeneurs de chiens, ceux qui viennent exhiber motos ou
voitures, les vieux au ralenti, les gamins qui s’agitent, tout un univers
concentré sur une petite place, sur une terrasse, devant un café un samedi
matin. Je sais depuis longtemps qu’il faut que je savoure les petits bonheurs
de la vie que je me dois de profiter de ces courts instants pour me recharger
l’esprit des tracas quotidiens qui, au fil des années s’accumulent, se
transforment, se densifient.
Un café le samedi matin en terrasse, c’est déjà ça…
kryzstof
mardi, mars 22, 2016
jeudi, novembre 19, 2015
Se remettre la pêche...
Il est temps de prendre du bon temps, on monte le son, on observe bien les chorégraphies et on se lance !!!
samedi, novembre 14, 2015
13/11/2015
Le Petit Thionvillois se devait de revenir, ne serait-ce pour soutenir les victimes et familles de victimes des attentats de Paris...
dimanche, mars 25, 2012
Election Présidentielle
A quoi bon serait-on tenter de dire. A quoi bon changer de président, celui qui est en place a-t-il fait mieux que le précédent ? Le prochain aussi différent soit-il fera-t-il aussi bien, aussi mal ? Comment savoir ? Facile en allant voter pour en changer... Voter est un droit obtenu de haute lutte, par respect pour celles et ceux qui nous ont obtenu ce droit, allons voter. Certes, une élection présidentielle n'est peut être pas l'élection qui va nous toucher le plus dans notre quotidien. Que va faire le président pour nous ? Pas grand chose en fait, mis à part insuffler une direction, donner ses idées, mais de gauche, de droite, du milieu, le président n'est qu'un simple représentant de sa nation. Que peut-il contre le pouvoir de l'argent ? Car ce sont bien les banques, la bourses, les grands argentiers qui dirigent le monde désormais, chaque pays essayant au mieux de tirer son épingle du jeu, de faire face, de faire parfois illusion de maîtriser son économie, mais voilà l'économie n'a pas de frontières, elle se moque de qui est en place, elle avance, elle ne regarde pas en arrière, mais toujours devant vers le profit maximum. Alors le petit président, ce n'est pas péjoratif, que peut il faire ? Que veut il faire ? Peut être juste sauver sa tête, être au sommet pour ne pas sombrer comme le commun des mortels, cette élection n'est qu'une quête personnelle sans autre but que le pouvoir. C'est vieux comme le monde, l'Homme a besoin de montrer qu'il est le meilleur, l'esprit de compétition vaut en sport, mais il est présent partout, y compris en politique, chacun va tout faire pour arriver au sommet, sauf qu'ici l'Everest est plus confortable, plus chaleureux, faut-il encore apprécier la décoration de l'Elysée...
vendredi, avril 22, 2011
La Foule
En ce qui me concerne l'union de ces deux voix me remue les tripes, la chanson étant un chef d'oeuvre, il n'y a qu'à se laisser emporter...
jeudi, mars 03, 2011
lundi, octobre 18, 2010
Stylo
Est-ce qu’un simple stylo peut donner l’envie d’écrire ?
Voilà bien longtemps que je ne célèbre plus ces années supplémentaires, dates anniversaires qui me rappellent que le temps fuit comme un vulgaire robinet, le calcaire de l’âge n’y fait rien, il s’écoule toujours. Tant mieux finalement. A quoi bon organiser une fête, à quoi bon ?... Donc en ce jour particulier, c’est malgré tout avec joie que j’ouvre ce petit paquet bleu offert par une mère aimante. Le bleu de l’emballage se transforme en rouge écarlate d’une boîte cartonnée dissimulant à peine, protégeant serait plus juste, un étui métallique rouge Ferrari. Tiens, un petit écusson aux armes du Cavallino Rampante orne l’étui. Non il ne s’agit pas de la clé d’une voiture de rêve, mais d’une machine à rêves bien plus phénoménale encore…
Un stylo, outil de rêve, un faiseur de songes, une baguette magique, un prolongement de l’esprit, laisser divaguer cet objet au gré de ses idées, retenir la fougue de l’âme, lâcher les chevaux de la folie, faire tourner les têtes, les possibilités sont illimitées et ça, c’est tout bonnement fantastique !
Même si mes courbes tracées sur le papier sont irrégulières, pas toujours des plus esthétiques, peu m’importe, c’est mon âme qui les dessinent. Mon esprit qui se laisse aller simplement sans barrières, sans frontières, l’écriture n’a pas de limites, elle ne peut être enfermée dans un carcan, elle est libre. Ce stylo est une sorte de passeport, une clé vers la liberté.
Bizarre mais l’envie d’écrire est en moi, ce désir est là, va-t-il rester ? Voilà une énigme à laquelle nul ne peut répondre…
Voilà bien longtemps que je ne célèbre plus ces années supplémentaires, dates anniversaires qui me rappellent que le temps fuit comme un vulgaire robinet, le calcaire de l’âge n’y fait rien, il s’écoule toujours. Tant mieux finalement. A quoi bon organiser une fête, à quoi bon ?... Donc en ce jour particulier, c’est malgré tout avec joie que j’ouvre ce petit paquet bleu offert par une mère aimante. Le bleu de l’emballage se transforme en rouge écarlate d’une boîte cartonnée dissimulant à peine, protégeant serait plus juste, un étui métallique rouge Ferrari. Tiens, un petit écusson aux armes du Cavallino Rampante orne l’étui. Non il ne s’agit pas de la clé d’une voiture de rêve, mais d’une machine à rêves bien plus phénoménale encore…
Un stylo, outil de rêve, un faiseur de songes, une baguette magique, un prolongement de l’esprit, laisser divaguer cet objet au gré de ses idées, retenir la fougue de l’âme, lâcher les chevaux de la folie, faire tourner les têtes, les possibilités sont illimitées et ça, c’est tout bonnement fantastique !
Même si mes courbes tracées sur le papier sont irrégulières, pas toujours des plus esthétiques, peu m’importe, c’est mon âme qui les dessinent. Mon esprit qui se laisse aller simplement sans barrières, sans frontières, l’écriture n’a pas de limites, elle ne peut être enfermée dans un carcan, elle est libre. Ce stylo est une sorte de passeport, une clé vers la liberté.
Bizarre mais l’envie d’écrire est en moi, ce désir est là, va-t-il rester ? Voilà une énigme à laquelle nul ne peut répondre…
kryzstof
vendredi, octobre 15, 2010
mardi, septembre 28, 2010
Free Blog Father

Une simple adresse pour la liberté d'expression, car sérieusement il ne faut pas déconner, 20 ans de prison pour donner son avis sur un blog, n'y aurait-il pas comme de l'abus là ?
Moi ça m'énerve, alors je me réveille, et ouvre à nouveau les portes du Petit Thionvillois, et je lâche le fauve...
Moi ça m'énerve, alors je me réveille, et ouvre à nouveau les portes du Petit Thionvillois, et je lâche le fauve...
kryzstof
mercredi, mars 17, 2010
NAIF

Italienne, Naif Herin semble avoir beaucoup de talent, laissez-vous tenter par cette petite vidéo histoire d'avoir un aperçu...
kryzstof
mardi, novembre 10, 2009
Improvisations ?
Les "Flash Mob" vous connaissez ? Des rendez-vous impromptus dans des lieux publics, le but est de se rencontrer, d'étonner, de s'amuser. Un groupe américain s'est spécialisé dans ce genre d'évènements, et ça fonctionne à merveille, il suffit de regarder les visages des témoins de ces scènes cocasses... De la séance de shopping transformée en comédie musicale, de la promenade de 2000 chiens invisibles dans la rue, en passant par une journée "sans pantalon" en plein hiver, des gens qui mette un peu de bonne humeur dans la ville, on ne peut qu'adhérer...
Allez visiter :
kryzstof
mardi, octobre 06, 2009
tck tck tck

Sans vouloir être extrémiste, pensons simplement à vivre autrement, les petits riens cumulés vont faire des grandes choses, et si par nos actions les grands de ce monde en prenaient de la graine ?
kryzstof
dimanche, août 23, 2009
Hey Ya
Je ne me fatigue pas trop, encore une petite séance vidéo, musicale cette fois-ci. Adepte de Taratata, mais aussi de la Blogothèque, j'aime fouiller et dénicher de belles reprises, pour mon plaisir tout simplement. Ici le tube de Outkast "Hey Ya" revisité tout en douceur par Coccon, ça glisse tout seul...
La jolie version de Coccon :
La jolie version de Coccon :
La version originale d'Outkast :
Une préférence ?
kryzstof
samedi, août 22, 2009
Petits soldats
Une vidéo d'une qualité impressionnante, juste pour me souvenir que moi aussi étant gamin j'ai joué aux petits soldats...
Et si les militaires ne servaient qu'à défiler le 14 juillet...
Appréciez.
Et si les militaires ne servaient qu'à défiler le 14 juillet...
Appréciez.
Toy Soldiers from Alta Media Productions on Vimeo.
kryzstof
lundi, avril 20, 2009
Défi ?
Comment ressort-on d’une épreuve difficile ? Grandi paraît-il, plus fort certainement, ce qui ne tue pas rendant plus fort. On se rend compte que la vie est belle tout simplement et qu’il est bon d’en savourer chaque instant, car parfois au sortir d’une douloureuse épreuve d’un combat éprouvant, au fil du temps, on oublie peu à peu. Mais pas d’inquiétude, c’est quand on s’y attend le moins qu’un nouvel obstacle surgit. Bon, c’est juste, dans mon cas, c’était le même obstacle, je connaissais, pas question de le contourner, valait mieux le prendre en pleine gueule, le traverser tête baissée et juger des dégâts de l’autre côté… Seconde bataille, plus acharnée encore, plus violente parfois, plus intense, mais ce combat n’est gagné qu’en partie, la lutte demeure quotidienne.
Alors comment est-ce que je suis après cette seconde lutte ? Etrange sentiment en fait, une vie dite normale se profile à nouveau devant moi, depuis quelque temps l’essentiel de mon énergie je la dépense dans mon travail histoire sans doute de prouver que je suis capable d’être un bon employé, montrer à mon employeur qu’il a eu raison de me faire confiance sans doute, bref je crois pouvoir me réaliser dans une entreprise… Mais voilà, le verbe est lâché, croire… Après de si âpres batailles, après des moments de vie si intenses, le quotidien devient vite morne et ennuyeux. Et oui, la vie ordinaire de tout à chacun, cette vie que je jalousais, aujourd’hui que je la retrouve en partie, et bien je me rend compte qu’elle n’est pas très enrichissante, je me fais chier. Pourquoi la seule envie du marin revenu à terre après une traversée de l’Atlantique, est de repartir ? Pourquoi l’alpiniste veut-il coiffer de plus en plus de sommets ? Peut-être parce que malgré les difficultés, vivre une vie intense est un réel besoin, une drogue. Alors non, je ne veux pas avoir à me battre à nouveau contre mon corps qui se barre en sucette, non loin de là, mais par deux fois ma vie s’est muée en combat, et de ces épreuves j’en suis sorti, et cela m’a donné d’autres envies, le besoin de rêver, le besoin d’aventure, l’envie d’avancer, d’être heureux et de me sentir vivant. Cet ensemble, je ne l’obtiens pas actuellement, je le cherche, je me cherche, un nouveau défi, telle est ma quête, histoire de me sentir VIVANT…
Si vous avez une idée, je suis preneur…
Alors comment est-ce que je suis après cette seconde lutte ? Etrange sentiment en fait, une vie dite normale se profile à nouveau devant moi, depuis quelque temps l’essentiel de mon énergie je la dépense dans mon travail histoire sans doute de prouver que je suis capable d’être un bon employé, montrer à mon employeur qu’il a eu raison de me faire confiance sans doute, bref je crois pouvoir me réaliser dans une entreprise… Mais voilà, le verbe est lâché, croire… Après de si âpres batailles, après des moments de vie si intenses, le quotidien devient vite morne et ennuyeux. Et oui, la vie ordinaire de tout à chacun, cette vie que je jalousais, aujourd’hui que je la retrouve en partie, et bien je me rend compte qu’elle n’est pas très enrichissante, je me fais chier. Pourquoi la seule envie du marin revenu à terre après une traversée de l’Atlantique, est de repartir ? Pourquoi l’alpiniste veut-il coiffer de plus en plus de sommets ? Peut-être parce que malgré les difficultés, vivre une vie intense est un réel besoin, une drogue. Alors non, je ne veux pas avoir à me battre à nouveau contre mon corps qui se barre en sucette, non loin de là, mais par deux fois ma vie s’est muée en combat, et de ces épreuves j’en suis sorti, et cela m’a donné d’autres envies, le besoin de rêver, le besoin d’aventure, l’envie d’avancer, d’être heureux et de me sentir vivant. Cet ensemble, je ne l’obtiens pas actuellement, je le cherche, je me cherche, un nouveau défi, telle est ma quête, histoire de me sentir VIVANT…
Si vous avez une idée, je suis preneur…
kryzstof
jeudi, mars 12, 2009
On monte le son
C'est dingue mais je n'ai rien à dire, je n'ai pas envie de parler, je suis à sec de sujet, je devrais vous conter les formidables aventures de la vie en entreprise, mais non, je garde cela pour moi, pour l'instant. Alors pour se défouler un peu, et en attendant une inspiration positive, on va monter le son et profiter du Blue Man Group. Ils sont frappés, mais leur oeuvre est tellement innovante...
le site :

J'ai un petite découverte d'un tout autre genre, mais je la garde en réserve pour une autre fois...
kryzstof
jeudi, janvier 08, 2009
2009
Non mais vous ne croyez tout de même pas que je vais venir ici et me laisser aller, comme l'exige une tradition ancestrale, à souhaiter à qui mieux mieux une bonne année au tout venant... Pas de ça ici ! Qu'elle soit bonne ou non l'essentiel est de la passer cette année, et d'en passer beaucoup d'autres, de toute façon, il faudra la prendre comme elle vient, crise ou pas, avancer, et profiter de la vie. Alors les "Bonne Année" si peu sincères parfois, on va oublier pour cette fois, et pis c'est tout !
Continuons donc tranquillement, en musique, une petite nouveauté Charlie Winston avec son nouveau titre "Like a Hobo" prélude à un album dont la sortie est prévue le 16 janvier. Pour patienter un peu, pour découvrir l'artiste, laissez-vous tenter par cette vidéo.

Continuons donc tranquillement, en musique, une petite nouveauté Charlie Winston avec son nouveau titre "Like a Hobo" prélude à un album dont la sortie est prévue le 16 janvier. Pour patienter un peu, pour découvrir l'artiste, laissez-vous tenter par cette vidéo.

kryzstof
dimanche, novembre 30, 2008
Bazar
Vous avez dit bizarre ? Non j’ai dit Bazar !!! Ce titre m’est venu en écoutant Bazbaz dans une reprise de Mort Schuman « Allo Papa Tango Charlie », bon ça n’a rien à voir avec le sujet développé ici, quoique finalement peut-être que si puisque de sujet il n’y en a point. Ou plutôt il y en a plusieurs, mais rien de vraiment précis, juste des petites idées jetées ça et là histoire de vous faire découvrir de nouvelles choses, ou redécouvrir de plus anciennes, un peu de nostalgie ne faisant pas de mal parfois…
Donc dans tout ce bordel, il y a des lectures, et des musiques, deux éléments qui permettent de faire fonctionner la masse gélatineuse située entre les deux oreilles… Vous qui lisez ceci prenez des notes, parfois un bon livre, une jolie musique peut créer un joli moment de bonheur au pied d’un sapin, et oui, les boules, Noël arrive à grands pas.
Donc dans tout ce bordel, il y a des lectures, et des musiques, deux éléments qui permettent de faire fonctionner la masse gélatineuse située entre les deux oreilles… Vous qui lisez ceci prenez des notes, parfois un bon livre, une jolie musique peut créer un joli moment de bonheur au pied d’un sapin, et oui, les boules, Noël arrive à grands pas.
Commençons par le rayon librairie…
Oh et puis non, quitte à mettre le bazar, je commence par un peu de musique, Bruno Maman, un petit Thionvillois (si, si) son titre « Dans tes Yeux », me fait penser que finalement à mon âge je n’ai pas fait grand chose de ma vie, je n’ai toujours rien construit, je ne suis que spectateur. Bref, pas grave, j’adore cette chanson, et j’apprécie le personnage, qui m’avait permis de visiter son studio d’enregistrement personnel dans la région parisienne il y a une quinzaine d’années, oh le coup de vieux, au moment de son plus grand succès « Qui Sait ? »
Oh et puis non, quitte à mettre le bazar, je commence par un peu de musique, Bruno Maman, un petit Thionvillois (si, si) son titre « Dans tes Yeux », me fait penser que finalement à mon âge je n’ai pas fait grand chose de ma vie, je n’ai toujours rien construit, je ne suis que spectateur. Bref, pas grave, j’adore cette chanson, et j’apprécie le personnage, qui m’avait permis de visiter son studio d’enregistrement personnel dans la région parisienne il y a une quinzaine d’années, oh le coup de vieux, au moment de son plus grand succès « Qui Sait ? »

Loup – Nicolas Vanier – Ed. XO : nouveau roman de Nicolas Vanier, qui nous mène au pays des Evènes, éleveurs de rennes dans l’immensité Sibérienne. Un relation contre nature entre Sergueï et une meute de loups, une aventure dans les pays d’en haut, mais surtout une confrontation entre un peuple ancestral et la modernité de notre société et les ravages que l’homme fait subir à l’environnement. Un périple glacé de toute beauté qui annonce l’arrivée d’un film en cours de tournage, un beau moment d’évasion.
L’avantage dans un bazar, c’est que l’on trouve tout et n’importe quoi, ce que je préfère c’est le n’importe quoi. En fouillant dans les rayons de ma mémoire, aidé en cela par Taratata, j’ai dégoté un ovni, je le mets dans mon bordel, histoire de le retrouver plus facilement. Un morceau plaisir, juste pour moi…
Claude NOUGARO / Richard GOTAINER : Le sampa - Taratata
TARATATA N°32 (Tour. 03/11/93 - Dif. 06/11/93)
TARATATA N°32 (Tour. 03/11/93 - Dif. 06/11/93)


Dans mon bazar, il y a un rayon, lessive, toujours dans le but de se laver le cerveau des idées noires, j’ai le cadeau Bonux, délivré par Catherine, Fred et Vanessa…
à la prochaine...
kryzstof

mercredi, octobre 29, 2008
Libres

Bien sûr la liberté ce n’est pas que ça. Etre libre de ses opinions, libre de mener sa vie, libre d'aimer, libre de vivre, la liberté c'est un état d’esprit avant tout.
Prenez un peu de temps pour visionner ce petit film de présentation de cette fabuleuse aventure qu'est le Vendée Globe, et lors de la course, pourquoi ne pas suivre les concurrents au jour le jour en écoutant leurs vacations radio, histoire de vivre un petit bout d'extraordinaire...
kryzstof
samedi, septembre 13, 2008
Changeons nous les idées
Eteignons la télévision, posons-nous, bien installé dans un fauteuil ou dans son lit, lisons. Voilà une petite sélection de mes lectures de ces derniers temps.


La théorie Gaïa de Maxime Chattam éd. Albin Michel : j’adore le style Chattam, ses romans sont haletants, prenants, des histoires à donner la chair de poule. Ce nouvel opus sonde l’âme humaine, jusqu’à imaginer ce que sera l’évolution de l’Homme. Partagé entre le Pic du Midi et une île de Polynésie l’action emmène un couple de scientifiques dans un complot infernal mené par une Commission Européenne dépassée par ses expériences.
Un genre de lecture parfois violent, étrange, mais des lectures qui me fassent voyager, qui me fassent peur, m’étonnent, rêver, voilà ce que je recherche, les vies ordinaires de gens ordinaires ne m’intéressent pas, ouvrir un livre pour voir le quotidien de gens tristes, pas pour moi, un livre, c’est des émotions avant tout.
Ne rallumez pas votre télé tout de suite, restez détendus, un peu de musique ça fait toujours du bien, personnellement je ne peux vivre sans.
Un genre de lecture parfois violent, étrange, mais des lectures qui me fassent voyager, qui me fassent peur, m’étonnent, rêver, voilà ce que je recherche, les vies ordinaires de gens ordinaires ne m’intéressent pas, ouvrir un livre pour voir le quotidien de gens tristes, pas pour moi, un livre, c’est des émotions avant tout.
Ne rallumez pas votre télé tout de suite, restez détendus, un peu de musique ça fait toujours du bien, personnellement je ne peux vivre sans.

Donc histoire de situer le personnage, deux petites vidéos de ses anciennes chansons...
Thomas FERSEN : Le bal des oiseaux - Taratata
TARATATA N°40 (Tour. 02/02/94 - Dif. 05/02/94)
TARATATA N°40 (Tour. 02/02/94 - Dif. 05/02/94)
Video de mytaratata
kryzstof
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